• Politique : Ait Ahmed victime d'un AVC !

    Hocine Ait Ahmed, le président d'honneur du parti de l'opposition (Front des forces sociales) « FFS », est victime d'un accident vasculaire cérébrale. L'information est donc confirmée par sa famille. Le chef historique est entré dans un autre combat que celui de son domaine de politique : l'AVC.

    Sa santé s'est dégradée, selon la même source. Il est hospitalisé dans une clinique à Lausane (Suisse) a déclaré le premier responsable du FFS, M. Nebbou, dans une conférence de presse qu'il a animé à l'occasion. Il y suit des ses soins. "Pour le moment, sa santé est stable, mais son bilan médical révèle une série d'AVC affectant le centre de la parole", rapporte TSA.

    Il n'y a donc aucun souci. Inutile de s'inquiéter sur la santé d'Ait Ahmed. C'est du moins ce qu'a confirmé Ali Laskri sur la chaîne Echourouk News.

     

    M.O. 

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    Pensée : Matoub aurait 59 ans déjà !

    Oui, engagé à 100%. Il a combattu, bec et angle, pour la défense de la culture Berbère et la langue Amazigh ainsi que pour sa terre natale "la L;Algérie" dont la Kabylie qui coule dans son veines. Il était armé de simples poèmes et chansons, d'idées et de courage.

    Il aurait fêté son anniversaire ce 24 Janvier 2015. Mais, le destin a voulu autrement. Les lâches l'ont trahi. Le terrorisme islamiste l'a assassiné, à sa visite en Algérie, en 1998.

    Malgré ce, personne n'est arrivé à l'oublier ni oublier ses chansons. D'autres chanteurs ont repris le chemin du combat. De millier de Lounès sont nés et apparus.

    Né donc le 24/01/1956 à Taourirt Moussa (Tizi Ouezou), Matoub Lounès est un chanteur, auteur et compositeur. Pourtant il n’a jamais appris la musique dans une école. Il avait grandi seul et a fait son pas vers la musique seul avec des moyens simples.  A l’âge de 9 ans qu’il a commencé à se réjouir du son des files d’une guitare artisanale fabriquée d’un bidon d’huile en plastique. Ce n’est qu’en 1972, à l’âge de 16 ans, qu’il a eu son premier mandole que son père lui a offert à son retour de France. Un cadeau qu’il a malheureusement perdu dans les jeux du hasard (pocker) en s’amusant à le miser. Une année après il s'offre un autre.

    En 1974, Lounes avait déjà fait un mois de prison. Cela s’est passé lorsqu’il demanda au procureur, une cigarette, au moment de son procès au tribunal. Il a été interpellé pour quand il a blessé un jeune à coup d’un objet tranchant, suite à une bagarre qui a eu lieu dans un salon de coiffure pour homme.

    En 1975, il a été appelé au service militaire. Il a passé ses deux ans à Oran. En sortant, il fut embauché dans un CEM (Colège d'enseignement moyen) à Ait Douala. Au même temps il organisait des galas artistiques dans son village. Avec le temps, vu qu'il avance dans le domaine artistique, Matoub Lounès consacre plus de temps et d'énergie pour la chanson kabyle. Il s'y engage d'avantage. Il partit pour la France en quête d'un avenir meilleur. 

     

     

    Chronique proposée par Mounir.O.

    (A suivre…)

     

    Lounès a raconté sa vie de musique :

     

     

    « Je n'ai jamais étudié ni la musique, ni l'harmonie. Même lors des galas, je n'ai ni partition, ni pupitre. Rien. J'ai toujours travaillé à l'oreille et j'ai acquis cette oreille musicale en écoutant les anciens, en assistant aux veillées funèbres, là où les chants sont absolument superbes, de véritables chœurs liturgiques. Mais on n'y chante pas Dieu, on parle de misère sociale, de vie, de mort. Ce sont des chants de notre patrimoine, que des générations d'hommes et de femmes ont chantés. Là est ma seule culture musicale. À part cela, je reconnais être incapable de lire la moindre note de musique, au point qu'il m'est impossible de distinguer, sur une partition, mes propres compositions. Tout ce que je fais, je le fais à l'oreille. Je prends mon mandole et j'essaie. Je trouve les accords, puis je compose des airs qui deviennent mélodies. À force de faire et de refaire, je les enregistre dans ma mémoire et je les retiens. J'accorde mes instrument à la voix, je n'utilise pas de diapason. Je sais que cela risque de surprendre un certain nombre de musiciens, mais je n'ai jamais utilisé de diapason. Je ne sais pas ce qui est un "la" et j'ignore la différence entre une clé de "sol" et une clé de "fa". Tout cela m'est étranger.

    Sur scène, je demande aux musiciens de se régler sur ma voix. C'est toujours ainsi que j'ai fonctionné, et toujours ainsi que j'ai enregistré mes disques. Plusieurs fois, je me suis dit qu'il serait temps d'apprendre la musique d'une manière rigoureuse. Puis j'ai estimé que cette "contrainte" risquait finalement de plus m'embarrasser que me faire progresser. Cela pouvait même me bloquer. J'y ai donc renoncé, et je m'en porte très bien. Et même si je n'ai aucune notion de musique, au sens académique du terme, je sais parfaitement quand quelqu'un joue ou chante faux, ou quand mon mandole est désaccordé. C'est, chez moi, une question d'instinct. Même en matière de musique, je suis anticonformiste, rebelle aux carcans des règles et des lois. Et puisque cela fonctionne ainsi, pourquoi se poser des questions ? », Matoub Lounès.

     

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  • Urgent : Hocine Ait Ahmad serait "mort" d'après le wikipédia !L'information toute récente sur l'hospitalisation du président d'honneur du FFS M. Hocine Ait Ahmed qui serait victime d'un AVC (Accident Vasculaire Cérébral), a été tournée en "décès" d'après le site 
    Wikipédia.

    A en croire ! D'après ce site M. Ait Ahmed serait donc "mort". Présentant la biographie de la figure emblématique de l'Algérie, ledit site mentionne : "Hocine Aït Ahmed, né le 20 août 1926 à Aït Yahia en Algérie, est mort le : 25 janvier 2015 un homme politique révolutionnaire algérien. Wikipédia".

    Nous y reviendrons avec plus de détails !

    M.O.

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  • Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a décrété vendredi un deuil de trois jours à travers le territoire national, suite au décès du roi d'Arabie Saoudite, Abdallah Ibn Abdelaziz Al Saoud, indique un communiqué de la présidence de la République.

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  • Béjaia : Décès d'un jeune garçon suite à une explosion de gaz Un jeune adolescent âgé de 17 ans, de la commune de Melbou, 40km du chef lieu de wilaya de Béjaia, a rendu l'âme avant-hier Mardi, suiteà une explosion de gaz.

    Gravement blessé, B.O, originaire de Boulezazène, a été transporté d'urgence à la clinique d'Aokas. Il y est resté une semaine avant qu'il ne soit transféré dans un hôpital à El Kliaa ou il a succombé à ces graves blessures. Selon une source digne, le jeune garçon voulait allumer un chauffage pour réchauffer des petits poussins qui grelottaient de froid. Il semble qu'il n'a pas fait attention qu'il y avait une fuite de gaz. Il a tenté vainement d'allumer le chauffage avec son briquet. Insistant, il ramène un bout de papier allumé et tout saute dans l'air.

    Etant tout près de lui, sa grande-mère, elle, présente de légères brûlures au visage et au niveau des bras et des  jambes.Des dégâts matériels ont été aussi enregistrés.

     

    Hommage à ce brave garçon regretté :

    Béjaia : Décès d'un jeune garçon suite à une explosion de gaz Bob était un jeune adolescent de 17 ans. Souriant et sociable, il aimait l'agriculture, la nature et les animaux. Il avait quitté l'école pour d'autres ambitions qu'il n'a pas encore, hélas, goûté. N'ayant pas trop aimé la théorie, il a toujours préféré la pratique. Il aimait les petites bricoles. Il était si généreux qu'il ne puisse faire du mal à une mouche. Issu d'une famille modeste, il partageait tout son humour et son bien avec ses amis.

    M.A.L.

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  • « Je n’invite personne à le faire, ni incite mes enfants à me suivre, mais je le fais ».

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